Vignerons de 12 générations

Isabelle représente la 12ème génération de vigneron.

Son histoire a été retracé grâce à de vieux écrits retrouvés dans une malle au grenier de cette vieille demeure.

Mme Raymonde ROUX amie de la famille et passionnée d’histoire et de généalogie a exploré tous ces documents. Après de multiples recherches au centre des archives de Nîmes, elle a pu retracer plus de 430 ans d’histoire. « Cela nous a appris l’histoire ancienne de notre famille mais également la vie des personnages les coutumes, le parler;.. au travers de l’histoire… Fabuleux instants de connaissance mais également d’émotions »

1er écrit : 1585

Isabelle descend d’une vieille famille de vigneron ou l’on peut retrouver le plus vieil écrit datant de 1585.

Plusieurs suivront s’étalant de 1585 à nos jours mentionnant toujours la trace de la vigne et du vin.

D'autres écrits témoignent de l'histoire comme ce vieil écrit datant de 1701 stipulant une recette contre le choléra, d'un bail à ferme du four bannal de Lirac datant de 1758, de l'adjudication à la font royale de Clary en 1762, de la taille du Roy de 1667, paiement de la taille des bois de la motnagne de Lirac de 1696.... 

Arbre généalogique de 430 ans

"Une généalogie de douze générations d'une famille attachée à la terre depuis plus de 400 ans.

"C'est le hasard qui fit découvrir dans un grenier un sac assez voluminuex contenant uniquement des papiers de famille. La propriétaire de la maison et du sac était loin de s'imaginer ce que représentait cette trouvaille lorsqu'elle le découvrit en mettant de l'ordre dans ce grenier.

Cela s'est passé vers 1958. Le soir, à la veillée, comme cela se passait encore en ce temps là, entre proches parents ou amis, elle nous fait part de sa trouvaille.........

"...Remplie d'enthousiasme à cause d'un goût tenace du passé et par amitié et en souvenir de la personne qui a découvert ce sac d'archives, ma trés chère amie Margueritte, j'ai sollicité la faveur d'établir cette généalogie, comme s'il s'était s'agit de ma propre famille...." Mme Raymonde ROUX

Mémoire de la vigne et du vin

Des documents attestant des fûts transporté à Rome de la Côte du rhône… puis dés 1947 document attestant que le Cotes du Rhône est devenu Lirac par un document du Comte de Ségriés.

Des pièces comprennent d'autres sources de l'ancienneté du vin qui au XVIIIème siècle était transporté très loin : à Paris, à Rôme, en Flandre et en allemagne et même aux colonies, aux Antilles Françaises. En 1763, le vaisseau Comtesse de Pourchartrin y transportait 209 grosses pièces de crus renommés : Tavel, Lirac, Roquemaure et Chusclan.

Extrait d'un document d'arpantage de vigne du 8 may  1633 : "...que sa terre a deux cent trente cinq longeurs que lui avons estimé, six livres...

Des vieux écrits attestent également de la pluri-culture, vers à soie, mouton et laine de mouton.

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